18 mois après le premier confinement, quel bilan pour l'immobilier ?

e 17 mars 2020, débutait le premier confinement français. Suite à la montée en puissance du SARS-CoV-2, commerces et particuliers n’ont eu d’autre choix que de baisser leurs stores. Plus de 18 mois après, alors que la pandémie commence à s’éloigner, les professionnels de l’immobilier s’interrogent sur le devenir de leur métier.

Un secteur qui reprend du poil de la bête

En mars 2020, la plateforme immobilière Meilleurs Agents a retenu son souffle. En quelques semaines, les promesses de vente ont baissé de 75 %. Il faut que dire que rester chez soi n’incite pas vraiment à l’achat…
Heureusement, dès le début de l’année 2021, les acheteurs sont revenus sur le devant de la scène. Pour 56 % d’entre eux, l’après-COVID est une bonne période pour investir dans la pierre (Source : Seloger.com). Cet engouement se traduit par un accroissement de 370 % des promesses de vente signées et timbrées.
Dire que l’année 2020 a été difficile est un doux euphémisme… Néanmoins, un an après, tous les signaux sont au vert. Entre la digitalisation de certaines procédures immobilières et l’enthousiasme des acheteurs, 2021 s’annonce sous de beaux auspices.

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